
Une rencontre prometteuse entre engagement social et dynamisme entrepreneurial
Le mardi 13 mai restera une date marquante dans le parcours de la Fondation Rayess – Lis Moi Un Avenir. En effet, la Chambre de Commerce et d’Industrie Libanaise de Côte d’Ivoire (CCILCI) a honoré de sa visite l’école de la Deuxième Chance, située au cœur de Koumassi, renforçant ainsi les liens entre secteur privé et acteurs sociaux.
Accueillie par Mme Kenza Rayess, présidente de la fondation, et Mme Isabelle Zongo, coordinatrice de projet, la délégation de la CCILCI a pu découvrir de près le fonctionnement de ce lieu unique dédié à l’alphabétisation et à l’autonomisation des jeunes filles issues de milieux vulnérables.

L’éducation comme levier de transformation
La visite de l’école a permis aux membres de la CCILCI de comprendre l’impact concret de cette initiative sur le terrain. Loin des discours, la fondation agit chaque jour pour offrir une seconde chance à celles que le système scolaire a laissées de côté. Lecture, écriture, formation professionnelle… chaque apprentissage devient ici un pas vers la dignité, l’indépendance et un avenir meilleur.
Cette rencontre fut aussi l’occasion de dialoguer autour des enjeux d’insertion socio-économique, de la place des femmes dans le tissu productif ivoirien, et du rôle que peut jouer le secteur privé dans l’accélération de l’impact social.
Une volonté commune de bâtir des ponts
Pour la CCILCI, cette visite a confirmé l’importance de soutenir des projets porteurs de transformation sociale. Elle témoigne également de l’intérêt croissant du monde économique libanais pour les initiatives à fort impact local notamment dans leur logique d’engagement dans la RSE. Comme l’a souligné la délégation, de futures collaborations sont à envisager, notamment dans l’appui à la formation, au financement de projets générateurs de revenus, ou à la sensibilisation à l’entrepreneuriat féminin.





Vers une alliance durable
À travers ce moment d’échange, la Fondation Rayess réaffirme sa mission : faire de l’éducation un outil de changement. Le soutien de structures comme la CCILCI est non seulement précieux, mais essentiel pour faire grandir cette ambition. Ensemble, elles dessinent un avenir plus inclusif, plus équitable, et profondément enraciné dans les réalités de Koumassi.
Comme le résume si bien Mme Rayess : « Quand les acteurs économiques et sociaux unissent leurs forces, les possibles s’élargissent. Nous sommes impatientes de construire, ensemble, un avenir plus lumineux pour nos jeunes filles. »