Une action symbolique à fort impact à la Fondation Rayess – Lis Moi Un Avenir

Dans un contexte mondial marqué par le changement climatique et la dégradation continue des écosystèmes, chaque initiative en faveur de l’environnement compte. C’est dans cette dynamique que l’Union Libanaise Culturelle Mondiale (ULCM), section Abidjan, a organisé une opération de planting d’arbres à la Fondation Rayess – Lis Moi Un Avenir, située dans la commune de Koumassi.

Loin d’être un geste isolé, cette action s’inscrit dans le cadre d’un vaste engagement pour la restauration des forêts en Côte d’Ivoire, pays qui a perdu plus de 90 % de sa couverture forestière en un siècle. En plantant des arbres dans les espaces éducatifs et communautaires, l’ULCM souhaite éveiller les consciences à l’importance de la nature, tout en posant des actes concrets de régénération écologique.

Un projet à la croisée de l’environnement, de l’éducation et de la solidarité

C’est dans l’enceinte même de l’école de la deuxième chance, portée par la Fondation Rayess, que cette action a pris vie. La fondation accueille des jeunes filles et femmes issues de milieux précaires, leur offrant des formations en alphabétisation et l’apprentissage à des métiers. Le choix de ce lieu n’est pas anodin : en reverdissant les abords de cet espace d’apprentissage et d’autonomisation, l’ULCM veut symboliser la croissance, la résilience et l’avenir.

Lors de cette journée verte, un arbre a été mis en terre, accompagné de messages de sensibilisation à la protection de l’environnement. Ce fut aussi un moment de partage culturel et intergénérationnel, où traditions libanaises et valeurs ivoiriennes se sont rejointes autour d’un objectif commun : bâtir un monde plus durable.

Une alliance féconde pour le futur

La collaboration entre la Fondation Rayess – Lis Moi Un Avenir et l’Union Libanaise Culturelle Mondiale est un exemple inspirant de coopération entre acteurs de la diaspora et initiatives locales. En mettant en synergie leurs ressources, leurs réseaux et leur vision, ces deux entités démontrent que la transition écologique peut (et doit) aller de pair avec la justice sociale.

Ce geste, simple en apparence, prend une dimension profonde : chaque arbre planté devient un symbole d’espoir pour les générations futures, un acte de foi envers la planète et un engagement pour l’éducation comme levier de changement durable.

Une graine à faire germer partout

L’ULCM, fidèle à sa mission de transmission culturelle et de solidarité, entend répliquer ce type d’initiatives dans d’autres quartiers d’Abidjan et au-delà. Car planter un arbre, c’est aussi planter les racines d’une communauté plus consciente, plus responsable, et plus unie.

La Fondation Rayess, quant à elle, est profondemment ancré dans ces valeurs pour avoir déjà organisé des activités de planting avec ses bénéficiaires dans les années précédentes.